The velamen of an orchid
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KRUGERRABaND, TAY ou Le SCORPION de DIANE et Y'becca

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Message par yanis la chouette Jeu 27 Avr - 18:20

D'ÊTRE UN AMER GOUT D'UNE LESSIVE BON MARCHÉ DONNANT L'EXEMA; ESPÉRANCE ENFOUIE D'UN REFLET OÙ LE CARACTÈRE NE FAIT PAS LE CARROSSE: FILLON

CONTROVERSE SUR Á ET EN AU SUJET D'UNE MOTO. DRÔLE DE CARREAU SUR LA CONSCIENCE DE L'ORTHOGRAPHE. EFFET: MOTO EST UN ABRÉGÉ: EN EST CORRECT.

Bir ömür sevecektim
Kırılmasaydın tutunduğum
dalından...
Ömrümü, ömrüne
verecektim...
Koparmasaydın baharları
saçımdan...

MOTO EST 1 ABRÉGÉ D'UNE MOTO-CYLINDRÉ. UNE BOURGEOISIE DEVANT UNE BOURGEOISE, DRÔLE EST LA RÉVOLUTION POUR CELUI QUI EST JEUNE, CROIS T'ON !

État-Major Armées‏ @EtatMajorFR 24 avr.
L'équipage de la frégate furtive La Fayette a rejoint la force #Chammal en méditerranée orientale

LA ROUE DE LA FORTUNE N'EST PAS LA CORNE DE L'ABONDANCE. MEFIEZ VOUS DU TRIOMPHE LÉGISLATIVES 2017: UNE NOUVELLE PLACE DE L'ESTRADE SE MIRE.

ON A DIT: VOUS QUI AVEZ LA QUARANTAINE VOUS ÉTES TROP JEUNE MAIS, CE 21 DÉCEMBRE 1977. UN DRÔLE OBSCURANTISTE, L'ASTROLOGIE MIEL, CE MACRON.

Aux côtés des Arméniens de #Marseille pour les commémorations du génocide de 1915. En cet instant je pense aux Chrétiens d'Orient persécutés

O PARNUGE, J'AI VU LE BÉTAIL; SANS MAUVAIS JEU DE MOT, SAUTEZ PAR DESSUS LE NAVIRE CAR GARGANTUA ÉTAIT VEXÉ. VOILÀ LA VÉRITÉ, MR MACRON. TAY

AINSI PARLAIT LE NOUVEL ZARATHOUSTRA ET Y'BECCA
http://le-rien-la-nudite.forumactif.com/t31-ainsi-parlait-le-nouvel-zarathoustra-et-y-becca …
http://la-5ieme-republique.actifforum.com/t316-ainsi-parlait-le-nouvel-zarathoustra-et-y-becca …
Y'becca
TAY

CERTES. JE DEVRAI SAVOURER CE NAUFRAGE DES GRANDS PARTIS ET DONNER BÉNÉDICTION AU NOUVEL ESPRIT. MAIS JE SUIS ZARATHOUSTRA ET LA CAVERNE.

REJOIGNEZ LA CLARTÉ D'UN OBSCURANTISME PRÉNOMMÉ CONSCIENCE. CONSTRUIT TON QUOTIDIEN SUR LE DOS DE TES IDÉES: TE VOILÀ DEVENU*E* OBSCUR. TAY

CANDEUR. APPLAUDISSEZ MARC-ANTOINE. TEL QUE JE SUIS. JE CÉLÈBRE L'ANNIVERSAIRE DE LA MORT DE CESAR. AVEC AGRIPPA, JE DONNE LA SÉCURITÉ. TAY

Le Sang: Négativisme et Colère pour éteindre La Misère. La CHARRUE. Y'BECCA. TAY http://le-rien-la-nudite.forumactif.com/t23-le-sang-negativisme-et-colere-pour-eteindre-la-misere … via @Forumactif_fr

Camille BEDIN 2017‏ @CamBedin2017 20 avr.
Plus
Retrouvez ici le discours de Camille lors de la réunion de soutien à François Fillon, mardi à Suresnes. http://fb.me/1VMk9cZPg

SAVOIR ET SECOURISME. J'AI L'ÉTHIQUE, CELLE DE CROIRE EN L'INFINITÉ DU PEUPLE, AU DELÀ DE LA VISION DU BANQUIER ET DE SON PROGRÈS. Y'BECCA

ECRIT
DE
TAY
LA CHOUETTE EFFRAIE

yanis la chouette

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Message par yanis la chouette Jeu 27 Avr - 18:21

LE PROGRÈS DANS L'ÉVOLUTION EST INSCRIT DEPUIS SOCRATE ET AVANT PAR LE DESSIN PRÉHISTORIQUE QUI DÉCRIVAIT LE DESTIN HUMAIN: JE SUIS L'AVENIR.

ORPHELINS TEL CASTOR ET POLLUX. LES VESTALES DÉFIENT DU REGARD LES VESTIGES DE GARGANTUA À TRAVERS L'OMBRE DU NÉFASTE BANQUIER: L'ARGOS. TAY

L'ARGOS CONSTRUIT DE LA MAIN D'ATHÉNA. L'OEUVRE TRANSPORTA LA PASSION NÉFASTE DE JASON ET MÉDÉE. O BANQUIER, TA ROMANCE ? RIRES DE THÉSÉE.

IL Y A CHRÉTIEN DE TROYES. OUI, CE VASE OU CETTE COUPE DU TEMPS ET DU SANG FUT UN PROGRESSISME MOYEN AÏEUX TOUT COMME LES MILLE ET 1 NUITS.

HERCULE ET JOCASTE OÙ LA JALOUSIE QUI TROMPENT LA NAÏVETÉ. LA FEMME DUPER PAR UN CENTAURE ET LE SANG DE LERNE: OUI BANQUIER, TON ANNEAU. TAY

J'ÉCRIS LES PRIÈRES POUR LA PROPHÉTIQUE ÉNIGME PROCHAINE. LA MALADRESSE DIPLOMATIQUE ET SES MALÉDICTIONS VONT SUIVRE LE COURS DES SYMBOLE.

LE MARIAGE RONGE LE DOIGT DE LA JEUNE IPHIGÉNIE DONNÉE PAR ORDRE DU DOLMEN. UN AMOUR ÉTINCELANT RÈGNE SUR LE CŒUR DE LA SACRIFIÉE: UN SOT.

DEVANT LE TRIBUNAL ADMINISTRATIF DE LA RÉPUBLIQUE. LE MARIAGE N'EST PLUS UN BIEN COMMUN ET IL DEVIENT UN ASPECT CHARNEL LAÏC: LE PARTAGE. Y

TAY LA CHOUETTE EFFRAIE SURVIE MALGRÉ L'ÉLECTION DU BANQUIER. IPHIGÉNIE DU DOLMEN BRANDIT SON GLAIVE PRÉNOMMÉ MARION. LE GRAND ORION MUET. Y

LE BANQUIER MAUDIT LA CHOUETTE EFFRAIE ET CELLE CI HULULE DEPUIS LES CLOCHERS: MÉLENCHON SAVOURE L'ÉCLIPTIQUE RÉACTION DEVANT LA RÉVOLUTION.

mailspice analytics works with all emails. It sets up in minutes
https://mailspice.com/

LA SIXIÈME RÉPUBLIQUE ET LE CULTE DE L'IMAGE: L'ESPERANCE ÉVANOUIE OU L'ÉCLIPTIQUE DU PRINTEMPS ? https://orkhidion-velamen.forumactif.com/t29-la-sixieme-republique-et-le-culte-de-l-image … via @Forumactif_fr

LE BANQUIER SOUS LA SELLETTE SI L'ÉVENTUALITÉ L'AMÈNE À SALUER GARGANTUA SUR LE SEUIL DE L'ÉLYSÉE CAR IL DEVIENDRA PANURGE POUR PANTAGRUEL.

LE TEMPLIER REGARDE IPHIGÉNIE ET CELUI-CI N'EST PAS INSENSIBLE À L'ANCIENNE VESTALE DU DOLMEN. IPHIGÉNIE BRANDIT SON GLAIVE ET HURLE: MARION

Le Mirage Spatiale, la découverte de Soi, Libre et Y'becca par ADMIN-TAY LA CHOUETTE EFFRAIE https://orkhidion-velamen.forumactif.com/t7-le-mirage-spatiale-la-decouverte-de-soi-libre-et-y-becca … via @Forumactif_fr

Y'becca ou murmure de l'Arbre-Olivier.
http://la-5ieme-republique.actifforum.com/t78p200-y-becca-ou-murmure-de-l-arbre-olivier#5892 …
Y'becca ou murmure de l'Arbre-Olivier.
http://le-rien-la-nudite.forumactif.com/t22-y-becca-ou-murmure-de-l-arbre-olivier#158 …
Y'becca
TAY

Corydon Gide, O et La Condition de la femme dans l'Antiquité http://leclandesmouettes.bbflash.net/t321-corydon-gide-o-et-la-condition-de-la-femme-dans-l-antiquite#5832 …
You Can Lea, JoeCocker https://www.youtube.com/watch?v=8Od1AjkNNyM …
Y'becca

ECRIT
DU
CITOYEN TIGNARD YANIS

yanis la chouette

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Message par yanis la chouette Jeu 27 Avr - 18:21

LE PROGRÈS DANS L'ÉVOLUTION EST INSCRIT DEPUIS SOCRATE ET AVANT PAR LE DESSIN PRÉHISTORIQUE QUI DÉCRIVAIT LE DESTIN HUMAIN: JE SUIS L'AVENIR.

ORPHELINS TEL CASTOR ET POLLUX. LES VESTALES DÉFIENT DU REGARD LES VESTIGES DE GARGANTUA À TRAVERS L'OMBRE DU NÉFASTE BANQUIER: L'ARGOS. TAY

L'ARGOS CONSTRUIT DE LA MAIN D'ATHÉNA. L'OEUVRE TRANSPORTA LA PASSION NÉFASTE DE JASON ET MÉDÉE. O BANQUIER, TA ROMANCE ? RIRES DE THÉSÉE.

IL Y A CHRÉTIEN DE TROYES. OUI, CE VASE OU CETTE COUPE DU TEMPS ET DU SANG FUT UN PROGRESSISME MOYEN AÏEUX TOUT COMME LES MILLE ET 1 NUITS.

HERCULE ET JOCASTE OÙ LA JALOUSIE QUI TROMPENT LA NAÏVETÉ. LA FEMME DUPER PAR UN CENTAURE ET LE SANG DE LERNE: OUI BANQUIER, TON ANNEAU. TAY

J'ÉCRIS LES PRIÈRES POUR LA PROPHÉTIQUE ÉNIGME PROCHAINE. LA MALADRESSE DIPLOMATIQUE ET SES MALÉDICTIONS VONT SUIVRE LE COURS DES SYMBOLE.

LE MARIAGE RONGE LE DOIGT DE LA JEUNE IPHIGÉNIE DONNÉE PAR ORDRE DU DOLMEN. UN AMOUR ÉTINCELANT RÈGNE SUR LE CŒUR DE LA SACRIFIÉE: UN SOT.

DEVANT LE TRIBUNAL ADMINISTRATIF DE LA RÉPUBLIQUE. LE MARIAGE N'EST PLUS UN BIEN COMMUN ET IL DEVIENT UN ASPECT CHARNEL LAÏC: LE PARTAGE. Y

TAY LA CHOUETTE EFFRAIE SURVIE MALGRÉ L'ÉLECTION DU BANQUIER. IPHIGÉNIE DU DOLMEN BRANDIT SON GLAIVE PRÉNOMMÉ MARION. LE GRAND ORION MUET. Y

LE BANQUIER MAUDIT LA CHOUETTE EFFRAIE ET CELLE CI HULULE DEPUIS LES CLOCHERS: MÉLENCHON SAVOURE L'ÉCLIPTIQUE RÉACTION DEVANT LA RÉVOLUTION.

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LE BANQUIER SOUS LA SELLETTE SI L'ÉVENTUALITÉ L'AMÈNE À SALUER GARGANTUA SUR LE SEUIL DE L'ÉLYSÉE CAR IL DEVIENDRA PANURGE POUR PANTAGRUEL.

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Message par yanis la chouette Jeu 27 Avr - 18:21

Claude de Bullion, baptisé le 13 octobre 1569, en l’église Saint-André-des-Arts, à Paris et mort le 22 décembre 1640 à Paris, est un gentilhomme français des xvie et xviie siècles et qui fut ministre de Louis XIII.

Biographie[modifier | modifier le code]
Reçu comme avocat au parlement de Paris en 1594, il acquit, en 1595, une charge de conseiller au même parlement. En 1605, il devint maître des requêtes et, en 1606, conseiller d’État ainsi que président au parlement de Grenoble.

Seigneur de Bonnelles, il est en 1612, commissaire de Sa Majesté près de l'assemblée réformée de Saumur, puis ambassadeur extraordinaire auprès de la cour de Turin. Il est surintendant des finances sous Louis XIII (1632) puis « garde des sceaux des ordres du roi », de l'Ordre du Saint-Esprit, du 28 février 1633 à 1636. Il est un soutien actif de Richelieu.

Il épouse, en 1612, Angélique Faure, fille de Guichart Faure, riche diplomate, et de Madeleine Brulart, sœur de Nicolas Brulart de Sillery, chancelier de France. La dot est de 75 000 livres. Son fils Noël de Bullion lui succède comme garde des sceaux de l'Ordre du Saint-Esprit.


Réception d'Henri II d'Orléans, Duc de Longueville, dans l'ordre du Saint-Esprit par le roi Louis XIII, le 15 mai 1633, par Philippe de Champaigne3
En 1611, Claude de Bullion achète la seigneurie de Boulon, aujourd'hui Bullion dans le département des Yvelines. Il achète la seigneurie de Maule (Château d'Agnou). Il est prévôt de la Ville et Vicomté de Paris, 16164. En 1620, il acquiert le château de Wideville qu'il reconstruit et embellit ainsi que les jardins et crée le célèbre Nymphée5. En décembre 1621, des lettres patentes du roi Louis XIII lui sont accordées « portant commutation dudit lieu, terre et seigneurie de Boulon en celui de Bullion ». Il sera possesseur également des seigneuries de Fervaques, de Gallardon, de Montlouet, d'Atilly, de Longchesne. En 1639, Claude de Bullion acquit le château d'Esclimont mis en vente. Claude de Bullion a été le "créateur" du Louis d’Or.

Il fit bâtir à Paris, sur les dessins de Le Vau, un hôtel particulier, où l'on remarquait deux galeries peintes par Vouet et Jacques Blanchard.

« Il décéda en sa maison de Paris, le 29e jour de décembre, l'an 1640 et fut enterré en l'église des Cordeliers de Paris en la chapelle de la maison Besançon, laquelle il avoit fait orner de riches peintures comme y ayant destiné sa sépulture avec ses ancestres maternels6 » et nuitamment en raison de son impopularité comme surintendant des finances. Son mausolée est détruit à la Révolution.

Dans le Journal de Dangeau, on trouve les annotations de duc de Saint-Simon qui rapporte ces anecdotes :

« On ne peut s'empêcher de rapporter une saleté de ce surintendant pour sa singularité étrange. Étant au conseil avec la Reine régente, il vint une odeur de charbon et d'ordures qui infecta le lieu et dont la Reine se plaignit fort. Bullion tira une petite boîte d'ivoire de sa poche et la présenta à la Reine pour la sentir ; la Reine l'ouvrit avec impatience mais en la portant à son nez : « Ah ! Bullion, s'écria-t-elle en la lui rejetant, vous m'empoisonnez. Comment ! c'est de la merde ! ». C'en étoit en effet : la boîte se renouveloit tous les matins de la plus fraîche, et le Surintendant, qui n'aimoit rien tant que cette odeur, avoit oublié que ce goût lui étoit tout à fait particulier. C'étoit au reste un habile ministre, estimé, considéré, et qui avait beaucoup d'amis. Lorsqu'il fit faire les premiers louis d'or, il pria cinq ou six hommes de ses amis à dîner, le maréchal de Gramont, le maréchal de Villeroy, les commandeurs de Jars et de Souvré, le marquis d'Hauterive, parent et ami intime des trois derniers, et quelqu'autre encore qui s'y trouva. Au fruit, il fit servir cinq ou six bassins remplis de cette nouvelle monnoie, et leur dit d'en remplir leurs poches et leurs chausses, leurs chapeaux même s'ils vouloient, et que tout ce qu'ils pourroient en emporter eux-mêmes étoit à eux. Pas un de la compagnie ne se fit prier, et tous s'en fourrèrent tant qu'ils purent, s'en allèrent à grand'peine gagner leurs carrosses, et trouvèrent n'avoir jamais fait si bonne chère. Cette magnificence n'a pas été. répétée, mais on peut croire que, quoiqu'elle vînt du surintendant, la reine en avoit pourtant eu la confidence »

— Philippe de Dangeau, Journal du marquis de Dangeau avec les additions du duc de Saint-Simon : 1707-1709, Soulié E., Dussieux L. 1857, p. 298.
Notes et références[modifier | modifier le code]
↑ Entrée « Claude de Bullion » [archive] [html], sur larousse.fr, Larousse (consulté le 21 mai 2016).
↑ Jean-Marie Constant, « Bullion, Claude de (1580 env.-1640) » [archive] [html], sur universalis.fr, Encyclopædia Universalis (consulté le 21 mai 2016).
↑ Ce tableau montre le roi, au centre, en costume de grand-maître de l'Ordre, recevant le serment de fidélité d'Henri II d'Orléans. Louis XIII est entouré de Claude Bouthillier, grand trésorier de l'Ordre, du chancelier Claude de Bullion, du greffier du Saint-Esprit Charles Duret et du prévôt maître de cérémonie Michel de Beauclerc. Au-dessus du roi est figurée la colombe symbolique, les ailes étendues dans une auréole. La richesse des décors et des costumes participe à la solennité de la scène. Les revers jaunes orangés des manteaux de l'Ordre apportent des touches colorées. Celui destiné à Henri d'Orléans, porté par Michel de Beauclerc sur l'envers, qui lance des reflets flamboyants. La dignité simple des attitudes s'accompagne de portraits qui témoignent d'une grande attention psychologique. Aucun de ces personnages conscients de leur importance, hormis peut-être le chancelier Claude de Bullion, n'accorde le moindre regard au nouveau venu dans l'Ordre.
↑ d'AVENEL. Richelieu et la monarchie absolue. (1895), p. 100.
↑ Jacques Treton, Montainville, joli village en Pincerais, 1998, p. 178-180
↑ Raunié, Émile Épitaphier du vieux Paris, recueil général des inscriptions funéraires des églises, couvents, collèges, hospices, cimetières et charniers, depuis le moyen âge jusqu'à la fin du xviiie siècle, tome I-III, 1854-1911, Imprimerie nationale, Paris, 1890-1901, p. 354

Yves Le Guillou, L’Enrichissement des surintendants Bullion et Bouthillier ou le détournement des fonds publics sous Louis XIII, Dix-septième siècle, no 211, 2001/2, [lire en ligne [archive]], p. 195-213

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Le surintendant des finances ou superintendant des finances est un officier de l'administration des finances dans la France d'Ancien Régime, chargé d'ordonner les dépenses de l'État.

Histoire[modifier | modifier le code]
Le terme apparaît en 1561. La charge était l'héritière de celle d'intendant des finances, créée en 1552 par Henri II. À l'époque, trois intendants avaient été nommés. L'un d'entre eux participait également au Conseil privé. Le titre de surintendant découlait de cette prééminence. En 1561, le titre échut à deux membres, Artus de Cossé-Brissac et le comte de Chaulnes. Un règlement du 23 octobre 1563 disposait que le Conseil du roi se réunirait une fois par semaine pour traiter de questions de finances. Devaient s'y réunir entre autres les surintendants des finances et d'autres officiers du département des finances, comme le trésorier de l'Épargne. En 1567, Cossé fut promu maréchal de France. Il résigna sa charge, ainsi probablement que le comte de Chaulnes, en faveur de René de Birague. Celui-ci exerça donc seul, et après 1570, sa charge fut assumée par le Conseil royal des finances.

Henri III, lui, supprima le Conseil des finances en 1574 et nomma un surintendant. Henri IV de nouveau remplaça la surintendance par un conseil. Au total, la charge fonctionna de manière intermittente, son destin lié intrinsèquement à celui du Conseil des finances.

Le 5 septembre 1661, Fouquet fut arrêté pour malversations, et déféré devant une chambre de justice. Le 12, un règlement remplaça la charge de surintendant par un Conseil royal des finances, où devait siéger un intendant des finances, en l'espèce Colbert qui deviendra ensuite contrôleur général des finances.

La charge de surintendant des finances dura environ un siècle et demi, de façon discontinue, de 1518 à 1661 où elle disparut avec l'arrestation de Fouquet.

Liste des surintendants des finances[modifier | modifier le code]

Note autographe de Sully sur l'assainissement de la monnaie. Page1/2 Archives Nationales AE-II-2509
1524–1544 : Philibert Babou
1561–1567 : Artus de Cossé-Brissac ; Louis d'Ongnies, comte de Chaulnes
Août 1568–1571 : René de Birague
10 septembre 1574–8 septembre 1588 : Pomponne de Bellièvre
8 septembre 1588–24 octobre 1594 : François d'O
1594–1597 : Conseil de 9 membres Pomponne de Bellièvre, Henri Ier de Montmorency, Albert de Gondi, Gaspard de Schomberg, Jacques de la Grange-le-Roy, Pierre Forget de Fresnes, Philippe Hurault de Cheverny et Nicolas de Harlay sieur de Sancy
1597–26 janvier 1611 : Maximilien de Béthune, futur duc de Sully
janvier 1611–1616: Conseil de 3 membres (Guillaume de L'Aubespine, Pierre Jeannin et Jacques-Auguste de Thou)
1616–1617: Claude Barbin
avril 1617–6 septembre 1619 : Pierre Jeannin
6 septembre 1619–1623 : Henri de Schomberg, comte de Nanteuil
6 janvier 1623–13 août 1624 : Charles, marquis de La Vieuville
27 août 1624–1626 : Jean Bochart ; Michel de Marillac
9 juin 1626–27 juillet 1632 : Antoine Coëffier de Ruzé, marquis d'Effiat
4 août 1632–22 décembre 1640 : Claude de Bullion ; Claude Bouthillier
22 décembre 1640–1643 : Claude Bouthillier
10 juin 1643–1647 : Nicolas de Bailleul ; Claude de Mesmes, comte d'Avaux;Michel Particelli d'Hémery
16 juillet 1647–9 juillet 1648 : Claude de Mesmes, comte d'Avaux ;Michel Particelli d'Hémery
9 juillet 1648–1649 : Charles de La Porte, seigneur de La Meilleraye
8 novembre 1649–1650 : Michel Particelli d'Émery (dit Emery) ; Claude de Mesmes
25 mai 1650–1651 : René de Longueil, marquis de Maisons
8 septembre 1651–2 janvier 1653 : Charles de La Vieuville, marquis puis duc de La Vieuville
8 février 1653–17 février 1659 : Nicolas Fouquet ; Abel Servien
17 février 1659–5 septembre 1661 : Nicolas Fouquet

Bibliographie[modifier | modifier le code]
Bernard Barbiche, Les Institutions de la monarchie française à l'époque moderne, PUF, coll. « Premier Cycle », 1999.
Françoise Bayard, Joël Félix, Philippe Hamon, Dictionnaire des surintendants et contrôleurs généraux des finances du XVIe siècle à la Révolution française de 1789, Paris, Comité pour l'histoire économique et financière de la France, 2000.
Daniel Dessert, Argent, pouvoir et société au grand siècle, Fayard, 1984.
Mireille Touzery, Les hommes de l'administration centrale des finances. Liste chronologique 1547-1791, p. 99, Annuaire-bulletin de la Société d'Histoire de France, année 2004, Paris, 2006

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Valéry Giscard d’Estaing (/valeʁiʒiskaʁdɛstɛ̃/ Prononciation du titre dans sa version originale Écouter), communément appelé Giscard ou VGE, né le 2 février 1926 à Coblence (Allemagne), est un homme d'État français. Il est président de la République française du 27 mai 1974 au 21 mai 1981.

Inspecteur des finances de profession, il est élu pour la première fois député sous la Quatrième République, en 1956. Secrétaire d'État aux Finances de 1959 à 1962, puis ministre des Finances et des Affaires économiques de 1962 à 1966, durant la présidence de Charles de Gaulle, il prend par la suite ses distances envers ce dernier, malgré le fait qu'ils assument tous deux un équilibre des finances face à Georges Pompidou, alors Premier ministre. Il exerce à nouveau les fonctions de ministre de l'Économie et des Finances après l'élection à la présidence de la République de Pompidou, de 1969 à 1974. Il est alors à la tête des Républicains indépendants, qui constituent la deuxième composante de la majorité.

Candidat à l'élection présidentielle de 1974, il devance le gaulliste Jacques Chaban-Delmas au premier tour, puis est élu au second tour président de la République française, avec 50,81 % des suffrages, face au candidat de l'Union de la gauche, François Mitterrand. Durant son septennat, Valéry Giscard d'Estaing, qui propose une « société libérale avancée », fait voter l'abaissement de la majorité civile et électorale à 18 ans, la dépénalisation de l'avortement, l'autorisation du divorce par consentement mutuel, élargit le droit de saisine du Conseil constitutionnel, supprime le droit du président à demander des écoutes téléphoniques. Sa politique internationale est marquée par sa volonté de renforcer la construction européenne, notamment aux côtés du chancelier fédéral allemand Helmut Schmidt, et par l'implication militaire française dans la bataille de Kolwezi (Zaïre) et l'opération Caban (Centrafrique).

Bien qu'il développe le projet de train à grande vitesse et relance l'industrie nucléaire en France, il est vite confronté aux difficultés économiques, les Trente Glorieuses touchant à leur fin. Le Premier ministre Jacques Chirac démissionne en 1976 et est remplacé par Raymond Barre, qui mène une politique de rigueur jusqu'à la fin du mandat présidentiel. Les divergences au sein de sa majorité, entre le RPR gaulliste, présidé par Jacques Chirac, et l'UDF centriste, dont Valéry Giscard d'Estaing est le fondateur, vont en s'aggravant au fil du temps. Alors que les sondages le placent longtemps en situation de favori à l'élection présidentielle de 1981, il est battu par François Mitterrand, candidat du Parti socialiste.

Il effectue son retour en politique l'année suivante et retrouve plusieurs mandats électoraux, comme celui de président du conseil régional d'Auvergne et de député du Puy-de-Dôme. À la tête de l'UDF, il est un des principaux dirigeants de l'opposition à François Mitterrand et sa candidature est évoquée aux élections présidentielle de 1988 et 1995. Il s'engage également au niveau européen en étant député européen et président de la Convention sur l'avenir de l'Europe. Après les élections régionales de 2004, il décide de siéger au Conseil constitutionnel, dont il est membre de droit en tant qu'ancien président de la République.

Auteur de plusieurs essais et romans, Valéry Giscard d'Estaing est membre de l'Académie française depuis 2003.

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Message par yanis la chouette Jeu 27 Avr - 18:22

La Monnaie de Paris est l'institution monétaire nationale de la France. Établissement public à caractère industriel et commercial depuis 2007, il exerce notamment la mission régalienne de fabrication de la monnaie nationale française. Créée le 25 juin 864 sous le règne de Charles II par L’Édit de Pîtres, elle est la plus vieille entreprise du monde2 et la plus ancienne institution française3 toujours en activité.

Jusqu'en 2007, la Monnaie de Paris était le nom « commercial » de la Direction des Monnaies et Médailles qui faisait partie du ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie. La Monnaie de Paris a acquis son autonomie et s'est vu conférer la personnalité juridique par la loi no 2006-1666 de finances pour 20074.

La Monnaie de Paris emploie actuellement 500 personnes5 et travaille sur deux sites : l'Hôtel de la Monnaie de Paris et l'établissement monétaire de Pessac, en Gironde (respectivement 55 % et 45 % de l'effectif).

Les missions de la Monnaie de Paris sont fixées par l'article L. 121-3 du code monétaire et financier. Pour le compte de l'État, en situation de monopole, elle frappe la monnaie métallique courante.

Elle exerce par ailleurs des activités commerciales, en secteur concurrentiel :

Production et vente de monnaies métalliques courantes étrangères, de monnaies de collection, médailles et décorations
Création de fontes d'art et bijoux sous la marque déposée Monnaie de Paris
Gestion du Musée de la Monnaie de Paris et entretien de l'Hôtel de la Monnaie (éditions particulières de médailles et cadeaux d’entreprises personnalisés et mise à disposition des salles de l’hôtel de la monnaie, quai de Conti aux événementiels des entreprises, administrations et collectivités)
Lutte contre la contrefaçon et fabrication d'instruments de marque et de garantie.
Au niveau européen, le site de Pessac a également été désigné pour abriter, outre le Centre national d'analyse des pièces (CNAP), le CTSE (Centre technique et scientifique européen), qui analyse et classifie les pièces contrefaites en euros dans toute l'Europe. Ce centre agit dans le cadre de l’Office européen de lutte antifraude et au titre de la coordination technique des États membres en matière de lutte contre la fausse monnaie.

Historique[modifier | modifier le code]

Entrée de la Monnaie de Paris, située quai de Conti dans le 6e arrondissement de Paris, qui abrite les ateliers de la Monnaie de Paris, la boutique, le musée de la Monnaie de Paris, des expositions d'art contemporain et le restaurant Guy Savoy
La Monnaie de Paris a été créée en 864 par l'Édit de Pîtres de Charles le Chauve, c'est la plus ancienne institution française6 et la plus vieille entreprise du monde.

Dès 1358 se dessine une structure qui, dans son principe, va se perpétuer jusqu’en 1879 : d’une part une administration dotée d’un pouvoir de juridiction et de réglementation en matière monétaire, d’autre part des ateliers placés sous le contrôle de l’État. Le chimiste Darcet (1777-1844) y fera sa carrière.

La Monnaie de Paris était rattachée au ministère des Finances depuis les lois des 22 et 23 vendémiaire an IV (septembre 1796). Les lois des 31 juillet et 20 novembre 1879 décidèrent que la fabrication des monnaies serait exclusivement effectuée par l’État lui-même sous le nom d’« Administration des Monnaies et Médailles ».

De 1848 à juin 1876, Anatole Hulot, adjoint du graveur général Jacques-Jean Barre, installe l'atelier de fabrication des premiers timbres-poste de France dans l'hôtel des Monnaies.

En 1973, l’État fait construire à Pessac (Gironde) une nouvelle usine pour réaliser l’ensemble des phases de fabrication des pièces de monnaie de circulation et de collection. Depuis 1998, c'est dans cette usine que sont fabriquées les huit pièces de l’euro.

La Monnaie de Paris a obtenu la triple Certification QSE.

En 2012, elle est la première institution publique à obtenir le Label Entreprise du patrimoine vivant.

La Monnaie de Paris en quelques chiffres[modifier | modifier le code]
En 2009, elle réalise 126 M€ de chiffre d’affaires pour un effectif de 500 salariés. Elle fabrique un milliard de pièces de monnaie par an et fait appel à des métiers d'art pour développer l’activité de produits d’art (pièces de collection, fontes d'art, bijoux) qui représentent 20 % du chiffre d’affaires7.

Direction de l'établissement[modifier | modifier le code]
Les archives de la Monnaie remontent à 1225. Les titres (en italiques) et les responsabilités des personnes nommées à la tête de cet établissement évoluent au fil des années8.

Prépositus monetae Parisiansis9

1225-1226 Marcellus
1270 Pierre Barbez
1296 Thomas Buchart
1296-1311 Régnier Le Flamant
1296-1315 Guillaume Le Flamant
Cussorum Moneta

1315-1326 Pierre de Mante
1329-1337 aucun
1436-1437 Jacques Cœur
1426-1485 Pierre Fromont [dynastie]
1488-1490 Martin Vivat
1489-1512 Laurent Sureau
1541-1555 Bastien de Riberolles
Président de la Cour des Monnaies

1555 Claude Bourgeois
1558 Jean Le Lieur
1571 François du Lion
1590 Claude Fauchet
1599 Guillaume Le Clerc
1610 Guillaume Lusson
1637 Jacques Poitevin
1642 André du Pajot
1662 Nicolas Cotignon
1664 Jacques Hosdier
1715 Louis Hosdier
1727 Étienne-Alexandre Choppin de Gouzangre
1772 René Choppin d’Arnouville
1781-1791 Étienne Jean Benoît Thevenin de Tanlay
1791 Jean Dupeyron de La Coste
Directeurs de fabrication de la Monnaie

An IV-An V Alexandre Roettiers de Montaleau
1794 Augustin Dupré
1794 Jean-Jacques-Joseph Anfrye
An V-1820 Charles de L’Espine
1821-1842 Jean-Pierre Collot
1843-1845 Alain Étienne Cambry
1845-1860 Charles Dierick
1861-1879 Alfred Renouard de Bussière
Directeur des monnaies et médailles

1871 Zéphirin Camélinat (directeur sous la Commune)[réf. nécessaire]
1875-1891 Jean-Louis Ruau
1891-1893 Georges de Liron d'Airolles
1893-1900 Alfred de Foville
1900-1907 François Arnauné10
1914-1915 Émile Jacquin
1915-1918 Louis Martin
1918-1925 Sylvestre Bouvier
1925-1927 Louis Formerie
1927-1934 Michel Dally
1934-1946 Étienne Moneclaey
1946-1952 Louis Vallon
1951-1952 Marcel Renaud
1952-1957 Yves Malecot
1957-1962 Robert Labonnelie
1962-1984 Pierre Dehaye
1984-1987 Jacques Campet
1987-1991 Patrice Cahart
1992-1995 Pierre Consigny
1995-1999 Emmanuel Constans
1999-2002 Françoise Saliou
2002-2007 Dov Michel Zerah
Président-Directeur général de la Monnaie

2007 - 2017 Christophe Beaux11
Depuis mars 2017 Aurélien Rousseau12
Accès[modifier | modifier le code]
Le musée est desservi par les stations de métro des lignes (M) (7) Pont Neuf et (M) (4) Saint-Michel et Odéon, par plusieurs lignes de bus RATP (BUS) RATP 58 70 24 27, ainsi que par les RER (RER) (A) et (RER) (D) à la gare de Châtelet - Les Halles et les RER (RER) (B) (C)à la gare Saint-Michel - Notre-Dame.

Notes et références[modifier | modifier le code]
↑ Rapport Financier 2012 [archive]
↑ « La Monnaie de Paris, un futur lieu touristique » [archive], sur La Tribune (consulté le 31 mars 2016)
↑ Dov Zérah, La Monnaie de Paris : 12 siècles d'Histoire, Le Cherche Midi, 7 août 2006, 113 p. (ISBN 2-7491-0822-5)
↑ Loi du 21 décembre 2006, art. 36 [archive]
↑ Le Monde du mardi 9 février 2010, Economie p.6
↑ Histoire de la Monnaie de Paris [archive]
↑ Christophe Beaux, La Monnaie de Paris [archive], émission Masse critique sur France Culture, le 13 février 2011
↑ [PDF] Jean-Marie Darnis, Tableau chronologique des Officiers généraux et Directeurs de la Monnaie de Paris depuis 1225 [archive], Direction des Monnaies et Médailles, Paris, 2005, p. 879 et suiv.
↑ Sont ici mentionnés les principaux « préposés à la monnaie de Paris » au cours des périodes les plus représentatives.
↑ Directeur par intérim jusqu'en 1914.
↑ Décret du 23 avril 2007 portant nomination du président-directeur général de La Monnaie de Paris - M. Beaux (Christophe) [archive] publié au JORF du 24 avril 2007].
↑ Article du 12 avril 2017 portant nomination du président-directeur général de La Monnaie de Paris - M. Rousseau (Aurélien) [archive] publié au ''Connaissance des arts' du 12 avril 2007]].
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Hôtel de la Monnaie
Liste des ateliers de fabrication de monnaies
Ateliers monétaires français
Timbres de France 1849
Bibliographie[modifier | modifier le code]
Dov Michel Zerah, La Monnaie de Paris. 12 siècles d’Histoire, Paris, Le Cherche Midi, 2006
Nicolas d'Estienne d'Orves, La monnaie de Paris, 1150 ans d'histoire, Paris, Albin Michel, 2015
Liens externes[modifier | modifier le code]
Sur les autres projets Wikimedia :
Monnaie de Paris, sur Wikimedia Commons
Monnaie de Paris [archive]
Information sur le CTSE [archive]
Liste et carte des distributeurs officiels de la Monnaie de Paris [archive]
Médailles des 400 ans de la Procession du Port à Clermont-Ferrand [archive]
Les archives de gestion de la Monnaie des Médailles sous Louis XVIII et Charles X [archive] sont conservées aux Archives nationales (France).

Prépositus monetae Parisiansis

yanis la chouette

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Message par yanis la chouette Jeu 27 Avr - 18:22

Processus de Paix des secouristes de la république de l'Olivier.

Je crois qu'à l'avenir, plus personne ne pourra recréer des bulles d'exclusions...
Pour cela, je ne peux me permettre de mettre à l'écart tout individu(e) et "État".

Je ne suis qu'une femme ou un homme humble qui en vous adressant ces ces vers,
espère qu'il puisse vous conduire vers l'expérience, le travail et la communauté...
La solitude augmente ou diminue le nervosité... Cela s'appelle le malheur...

Alors par décision, on recherche à se tranquilliser et remettre la balance sur le zéro;
alors par construction, on décèle la notion d'une fragile tolérance:
Celle d'insulter !

Par Yahvé, cela est une horreur et une erreur...

La République de l'Olivier dit :
"Oui à la gréve, Non à l'Esclavage..."
la constitution rajoute :
"Oui à la Bibliothèque et Non à la Faim."
et le peuple doit rajouter :
"Oui à l'écoute et Non aux viols physiques et moraux."

Alors le Novice du Secourisme prends en charge sa nouvelle fonction autre qu'un service
militaire mais basé aussi sur la protection du Bien et du Corps.

"Je suis Y'becca"

Ecrit de
TAY
La chouette effraie.

-----------------------------------------

Y'becca est soumis à toujours suivre un dossier médical, on ne peut se reposer sur des radios anciennes et toutes opérations auquel Lise Verdier ne peut être bâclé... Certains medecins oublient d'osculter la gorge quand un patien à une fiévre... Il est des gestes de précautions auquel la médecine n'a pas la droit de s'occulter... Y'becca doit répondre à ces faits là et son secouriste ne doit jamais dire jamais sur le fait que l'expérience ne donne jamais d'acquis et il est une chose auquel je voue une grande discipline et rigueur: Celle d'entendre la Prudence lorsque le temps le permet... quel que soit l'opération, on agit avec prudence du temps, de l'aspect et des allergies possibles auquel le patient ou la patiente peut être soumis en fonction de son age et de sa corpulence...

"La grâce est à la beauté ce que la souplesse est à la rose. Sans grâce, la beauté n'est qu'une fleur artificielle, qu'un colibri sans vie."
Citation de Jean-Napoléon Vernier ; Fables, pensées et poésies (1865). L'association pour Lise et pour vous, s'inspire de cette citation de Jean-Napoléon Vernier qui est si réelle sur l'aspect du courage d'être dans des situation auquel l'aspect humain se doit de se reconsidérer dans l'aspect de l'adversité dans l'être. Cette citation cherche à nous monter des aspects qui nous semblent enfoie par l'adversité et la douleur mais qui ne demande qu'à renaitre afin de permettre à la rose de devenir Rosier...


Aide pour le retour à domicile d’une personne lourdement handicapée.

L’Association Pour Lise et pour Vous, a but non lucratif, met à la disposition des personnes en situation de grand handicap et leurs familles, son expertise dans la prise en charge du retour au domicile.

Plus largement, l’association veut favoriser et permettre le développement des soins de qualité et le maintien à son domicile de tout enfant, adolescent ou jeune adulte, atteint d’une maladie grave ou d’un handicap lourd.

Nous sommes à votre écoute pour parler et construire ensemble de votre projet de vie, nous sommes à vos côtés pour le concrétiser.


Pour Lise Et Pour Vous
le Bourg Chevreau, 53600 SAINTE GEMMES LE ROBERT
Association humanitaire, d'entraide, sociale



"La grâce est à la beauté ce que la souplesse est à la rose. Sans grâce, la beauté n'est qu'une fleur artificielle, qu'un colibri sans vie."
Citation de Jean-Napoléon Vernier ; Fables, pensées et poésies (1865)

"La beauté sans grâce est un printemps sans verdure."
Citation de Mirabeau ; Lettres à Sophie Ruffei (1777-1780)

"La beauté sans grâce est un hameçon sans appâts."
Citation de Ninon de Lenclos ; Confessions (1700)

"On admire d'un coup d'œil la beauté, elle ne laisse plus rien à deviner ; la grâce se fait aimer peu à peu par des détails variés, imprévus, qui vous plaisent d'autant plus qu'ils vous surprennent, et ses petits défauts d'ensemble sont quelquefois des charmes qui nous attachent."
Citation de Louis-Philippe de Ségur ; L'ennui (1816)

"La grâce, ce charme suprême de la beauté, ne se développe que dans le repos du naturel."
Citation de Madame de Staël ; L'influence des passions (1796)

"La beauté ne déplaît jamais, mais sans la grâce, elle est dépourvue de ce charme secret qui invite à la regarder."
Citation de Voltaire ; Dictionnaire philosophique (1764)

"Les grâces préférables à la beauté, ornent la femme de tous ce qu'elles ont de séduisant."
Citation de Marie-Geneviève-Charlotte Darlus ; Traité des passions (1764)

"Il y a un art caché dans la simplicité qui donne une grâce à l'esprit et à la beauté."
Citation de Alexander Pope ; Maximes et réflexions morales (1739)

"Aucune grâce extérieure n'est complète si la beauté intérieure ne la vivifie."
Citation de Victor Hugo ; Post-scriptum de ma vie (1901)

"Brillante de beauté, de grâces, de jeunesse, pour vous plaire, on accourt, on s'empresse."
Citation de Charles-Guillaume Étienne ; L'Intrigante, I, 9, le 6 mars 1813.

"Sans le fard de l'amour, par qui tout s'apprécie, les grâces sont sans force, et la beauté sans vie."
Citation de Antoine Bret ; La double extravagance, VII, le 27 juillet 1750.

"La beauté est la clef des coeurs, la grâce le passe-partout."
Citation de Paul Masson ; Les pensées d'un Yoghi (1896)

"La beauté réside dans la forme ; la grâce dans les mouvements, le charme dans l'expression."
Citation de Lucien Arréat ; Réflexions et maximes (1911)

"La grâce, plus belle encore que la beauté."
Citation de Jean de La Fontaine ; Adonis (1658)

Compte rendu de
TAY
La chouette effraie

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L'Universitas Istropolitana (ou Academia Istropolitana) fut fondée en 1465 par un acte du pape Paul II dans la ville de Pozsony (aujourd'hui Bratislava), dans le royaume de Hongrie, à l'initiative du roi Matthias Corvin et de Jean Vitéz, archevêque d'Esztergom et chancelier du royaume. L'activité commença vraiment en 1467.

Istropolis (en grec « Cité du Danube ») est le nom humaniste donné alors à la ville de Pozsony/Bratislava.

Il y eut auparavant un collège universitaire à Veszprém au temps du roi Béla IV, mais il fut détruit en 1276 par les troupes de Péter Csák (père de Máté Csák). En 1367, une université fut fondée à Pécs par le pape Urbain V à l'initiative du roi Louis Ier (sur le modèle de l'Université de Vienne fondée deux ans plus tôt), mais elle se réduisit rapidement à deux écoles indépendantes, une d'arts libéraux et une de droit canon. En 1395, le roi Sigismond créa une université à Óbuda, mais elle ne dura qu'une vingtaine d'années1. En 1465, l'« Istropolitana » était donc la seule université du royaume.

Le but de la fondation était de former des hommes compétents pour l'administration de l'État sans dépendre des universités étrangères2, mais aussi de renforcer l'Église hongroise contre la propagande hussite3. L'université était fondée délibérément à proximité de ses grandes concurrentes étrangères. Elle fut conçue par ses promoteurs suivant l'idéal de l'humanisme : méthodes d'enseignement, importance de l'élément laïc, intérêt pour les sciences naturelles, influence de la devotio moderna.

L'archevêque Jean Vitéz, chancelier de l'université, était assisté par Georges (ou Juraj) Schönberg, prévôt du chapitre de la cathédrale Saint-Martin, qui en fut le principal responsable († 1486). Aucun document direct sur l'organisation et l'activité de l'établissement n'a subsisté : il avait au moins deux facultés (arts libéraux et droit canon), et la théologie et la médecine étaient enseignées également.

Jean Vitéz fit venir, notamment d'Allemagne, de Pologne et d'Italie, plusieurs professeurs réputés. L'astronome Regiomontanus y fut de 1467 à 1471 : il préparait une édition latine de l'Almageste de Ptolémée, établit des tables astronomiques et fabriqua des instruments. Martin Bylica, qui collabora avec Regiomontanus, enseignait à la fois l'astronomie et la médecine, et devint astrologue et conseiller de Matthias Corvin4. L'Italien Pierre de Vérone, « doctor artium et medicinæ », et Erasmus Adlman enseignaient aussi la médecine. Les humanistes italiens Galeotto Marzio5, ami du poète Janus Pannonius (neveu de l'archevêque), et Aurelio Brandolini furent aussi recrutés. Le dominicain sicilien Giovanni Gatti (ou Johannes Gattus) était doctor decretorum et magister sacræ theologiæ. En théologie également, on peut citer Matthias Gruber (de Medling en Carniole), Laurentius (ou Vavrinec) Koch (de Krompachy), Angelus Rangon.

L'Universitas Istropolitana ne dura pas longtemps : après la disgrâce de Jean Vitéz (1471), elle perdit rapidement ses professeurs les plus renommés, et elle disparut complètement après la mort de Matthias Corvin en 1490. Elle n'avait pas trouvé de formule de financement6. Ce fut une nouvelle tentative avortée de créer une université dans le royaume de Hongrie.

Un des bâtiments qui abritaient l'université (la « maison Gmaitl » dans la rue Venturska)7 existe toujours : il sert aujourd'hui à l'Académie de musique et d'art dramatique de l'École supérieure des arts de la scène de Bratislava.

Bibliographie[modifier | modifier le code]
Leslie S. Domonkos, A History of the Three Early Hungarian University : Óbuda, Pozsony and Buda, University of Notre-Dame, Indiana, 1966.
Leslie S. Domonkos, « The Origins of the University of Pozsony », The New Review : a Journal of East-European History 9, 1969, p. 270-289.
Astrik Ladislas Gabriel, The mediaeval Universities of Pécs and Pozsony, Francfort, Josef Knecht, 1969.
Jean Bérenger, « Caractères originaux de l'humanisme hongrois », Journal des savants, vol. 4, n°4, 1973, p. 257-288.
Eva Frimmová, « Der Humanismus in Pressburg am Ausgang des Mittelalters », in Michael Benedikt, Reinhold Knoll et Josef Rupitz (dir.), Verdrängter Humanismus-Verzögerte Aufklärung, t. I, Klausen-Leopoldsdorf, Verlag Leben-Kunst-Wissenschaft, 1996, p. 273-292.
Eva Frimmová, « Renaissance et humanisme en Slovaquie », in Renaissance and Reformation/Renaissance et Réforme 22, 1998, p. 19-40.
Jean-Patrice Boudet et Darin Hayton, « Matthias Corvin et l'horoscope de fondation de l'université de Pozsony en 14678 », in Jean-François Maillard, István Monok et Donatella Nebbiai (dir.), Matthias Corvin, les bibliothèques princières et la genèse de l'État moderne (actes de colloque), Budapest, 2009, p. 205-214.
Notes et références[modifier | modifier le code]
↑ Voir Leslie S. Domonkos, « The History of the Sigismundean Fondation of the University of Óbuda (Hungary) », in Studium generale. Studies offered to Astrik L. Gabriel, University of Notre-Dame, Indiana, 1967, p. 3-33.
↑ Notamment les trois grandes d'Europe centrale : l'Université de Vienne, l'Université Charles de Prague et l'Université jagellonne de Cracovie.
↑ L'Université Charles de Prague était alors sous la coupe des hussites.
↑ Voir Darin Hayton, « Martin Bylica at the Court of Matthias Corvinus : Astrology and Politics in Renaissance Hungary », Centaurus, vol. 49, n°3, août 2007, p. 185-198.
↑ Auteur d'un ouvrage intitulé De egregie, sapienter et jocose dictis et factis Mathiæ regis, où on retrouve plusieurs des humanistes et savants rassemblés autour du roi et de l'archevêque.
↑ Parmi les formules envisagées : octroyer aux professeurs des prébendes de chanoines, ou confier entièrement l'établissement à l'ordre des dominicains.
↑ Les restes d'autres bâtiments universitaires ont été mis au jour en 1965 aux n° 5-7 de la rue Jirašek.
↑ Cet horoscope fut dressé le 6 juin 1467.

ECRIT
DE
TAY
LA CHOUETTE EFFRAIE
OU
CITOYEN TIGNARD YANIS

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Message par yanis la chouette Jeu 27 Avr - 18:23

La Porta Nigra (« Porte Noire » en latin) est une porte fortifiée d'époque romaine. Monument emblématique de la ville de Trèves, elle est une des plus anciennes portes de ville d'Allemagne. Elle est répertoriée au Patrimoine mondial de l'UNESCO.

Histoire[modifier | modifier le code]
Cette porte monumentale a été construite entre 186 et 200 apr. J.-C. comme porte d'entrée nord de la ville d’Augusta Treverorum, capitale de la tribu celte des Trévires, devenue Trèves. Son nom provient de la couleur sombre de la pierre, due à la patine des siècles : cette couleur est attestée en remontant jusqu'au Moyen Âge.

Le moine grec Siméon vient s'installer comme ermite dans le monument vers l'an 1028 et s'y fait probablement cloîtrer. Après sa mort en 1035, il est redescendu au rez-de-chaussée et canonisé. On construit alors un sanctuaire en son honneur et on utilise la Porta Nigra comme une église à deux niveaux, dont l'abside est encore visible sur la partie est du monument.

En 1802, Napoléon Bonaparte fait détruire l'église et le sanctuaire. En 1804, lors de son profit à Trèves, il décide d'éliminer aussi les autres ajouts, ce qui permet de restaurer l'aspect de la construction romaine.

La Porta Nigra figure sur des timbres-poste allemands à plusieurs reprises : la première fois en 1940, puis en 1947 et en 1984 (pour le deuxième millénaire de la ville), enfin en 2002 avec une valeur faciale d'un euro. Elle fait aussi l'objet d'une pièce commémorative de 2 euros émise en 2017 pour représenter la Rhénanie-Palatinat dans le cadre de la série sur les Länder allemands.

En 1986, la Porta Nigra, de même que d'autres monuments romains subsistant à Trèves et dans sa région, sont inscrits au répertoire de l'UNESCO.

Patrimoine mondial en Allemagne
Culturel
Cathédrale d'Aix-la-Chapelle (1978) · Cathédrale de Spire (1981) · Résidence de Wurtzbourg avec les jardins de la Cour et la place de la Résidence (1981) · Église de pèlerinage de Wies (1983) · Châteaux d'Augustusburg et de Falkenlust à Brühl (1984) · Cathédrale Sainte-Marie et église Saint-Michel d'Hildesheim (1985) · Trèves – monuments romains, cathédrale Saint-Pierre et église Notre-Dame (1986) · Frontières de l’Empire romain (avec le Royaume-Uni) (1987) · Ville hanséatique de Lübeck (1987) · Châteaux et parcs de Potsdam et Berlin (1990) · Abbaye et Altenmünster de Lorsch (1991) · Mines de Rammelsberg, la ville historique de Goslar et système hydraulique du Haut-Harz (1992) · Monastère de Maulbronn (1993) · Ville de Bamberg (1993) · Collégiale, château et vieille ville de Quedlinburg (1994) · Usine sidérurgique de Völklingen (1994) · Cathédrale de Cologne (1996) · Le Bauhaus et ses sites à Weimar et Dessau (1996) · Monuments commémoratifs de Luther à Eisleben et Wittenberg (1996) · Weimar classique (1998) · La Wartburg (1999) · Museumsinsel (Île des musées), Berlin (1999) · Île monastique de Reichenau (2000) · Le royaume des jardins de Dessau-Wörlitz (2000) · Complexe industriel de la mine de charbon de Zollverein à Essen (2001) · Centres historiques de Stralsund et Wismar (2002) · Vallée du Haut-Rhin moyen (2002) · Hôtel de ville et la statue de Roland sur la place du marché de Brême (2004) · Parc de Muskau / Parc Mużakowski (avec la Pologne) (2004) · Vieille ville de Ratisbonne et Stadtamhof (2006) · Cités du modernisme de Berlin (2008) · Sites palafittiques préhistoriques autour des Alpes (avec cinq autres pays) (2011) · Usine Fagus à Alfeld (2011) · Opéra margravial de Bayreuth (2012) · Parc Wilhelmshöhe (2013) · Westwerk carolingien et civitas de Corvey (2014) · Speicherstadt et district de Kontorhaus avec la Chilehaus (2015) · L'œuvre architecturale de Le Corbusier (avec six autres pays) (2016)

Naturel
Site fossilifère de Messel (1995) · Forêts primaires de hêtres des Carpates et forêts anciennes de hêtres d’Allemagne (avec l'Ukraine et la Slovaquie) (2007, 2011) · La mer des Wadden (avec le Danemark et les Pays-Bas) (2009)

REMARQUE
DU
CITOYEN TIGNARD YANIS

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Message par yanis la chouette Jeu 27 Avr - 18:23

"L'OR DU POUVOIR",
HISTOIRE DE PARIS,
LA CRYPTE ARCHÉOLOGIQUE AMÉNAGÉE SOUS LE PARVIS DE NOTRE DAME DE PARIS
PRÉSENTE L'EXPOSITION "L'OR DU POUVOIR? DE JULES CÉSAR à MARIANNE"
DEPUIS LE 26 MAI 2016...
AINSI EST L'HISTOIRE DE LA PETITE BOURGEOISIE PARISIENNE, AMIENS DOIT
SE REPENTIR DE VOTRE ACTE DE NAISSANCE? MONSIEUR MACRON EMMANUEL
SI VOUS MAINTENEZ VOS PROPOS...!

Musée Carnavalet - Histoire de Paris
Vers 90-60 avant J.-C.
Monnaie d'or frappée
Diamètre : 2 cm
NM 4
Le peuple des Parisii s'installa dans la région parisienne vers le milieu du IIIe siècle avant notre ère. Leur place forte, mentionnée par Jules César, était construite sur une grande île de la Seine.
La qualité spectaculaire de la frappe de leur monnaie, dont le type est inspiré de celui de Philippe de Macédoine, est un témoignage essentiel de la culture gauloise.

Sept séries de monnaies en or furent émises par les Parisii entre 100 et 50 avant J.-C., mais leurs ateliers n'ont pas été retrouvés. Sur l'avers des pièces est représentée une tête d'homme de profil aux mèches de cheveux terminées en boucle ; au revers, les monnayeurs gaulois ont gravé un cheval cabré, chargé d’un décor bouleté.
L'activité commerciale et la richesse des Parisii, dues principalement au trafic fluvial, se développèrent sans entrave jusqu'à la guerre des Gaules, pendant laquelle les troupes romaines mirent fin à l'indépendance de la cité (52 avant notre ère).
Auteur de la notice : Thierry Sarmant
Salle : Cabinet de numismatique
Collection : Numismatique

ECRIT
DU
CITOYEN TIGNARD YANIS

yanis la chouette

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Message par yanis la chouette Jeu 27 Avr - 18:24

L'écu est une monnaie française créée au Moyen Âge, d'abord en or puis en argent, et qui fut utilisée jusqu'à l'époque moderne : à l'origine, elle était ornée d'un motif représentant les armes du royaume de France.

Étymologie
En français, l'étymologie de ce mot est commune avec l′escudo que l'on trouve au Portugal et en Espagne, à savoir le bouclier, sur lequel étaient peintes les armes du prince, aussi bien qu'avec les mots français « écu », « écusson » ou « écuyer ».

En France, où ce type de pièce apparaît en 1263, le nom d'écu est initialement attribué à des monnaies en or d'une valeur de trois livres tournois puis, à partir de la fin du règne de Louis XIII, l'édit de 1640 institua le terme écu blanc pour désigner une grande pièce d'argent, toujours d'une contre-valeur de trois livres (ou soixante sols) et inspirée du thaler. En France, le terme de pistole désignait d'abord l'écu espagnol.

Une nouvelle série de réformations furent instituées sous Louis XV. La valeur de l'écu d'argent passa à quatre livres puis, sous Louis XVI, sa valeur monta à six livres. La refonte monétaire de 1795 garda à peu près le même module pour la pièce d'argent de cinq francs.

Par la suite, le terme écu se perpétua et désigna communément toutes les pièces de type cinq francs en argent (production arrêtée en 1878) et tomba en désuétude dans les années 1920.

Lors des discussions sur la création d'une monnaie fiduciaire européenne en 1979, le premier terme choisi, European Currency Unit, dont les initiales étaient ECU, rappela de vieux souvenirs aux francophones mais, finalement, à l'initiative du chancelier allemand Kohl, le nom de l'unité monétaire européenne retenu fut Euro car en Allemagne, le nom de cette monnaie se serait prononcée « ein Ecu », proche homophoniquement de « eine Kuh » (en français : « une vache »).

Histoire de l'écu
En 1262, la réforme monétaire de Louis IX unifie les différents monnayages du royaume. Elle affirme la suprématie de la livre tournois sur la livre parisis et étend le cours légal de la livre tournois à tout le royaume. Les monnaies féodales n'ont plus cours que sur le territoire de leur émetteur. La livre tournois vaut alors 20 sous ou gros tournois de 4,2199 grammes d'argent à 958/1000e soit 20 x 4,044 = 80,88 grammes d'argent fin (ou environ 6,74 grammes d'or au cours de l'or variant à l'époque autour de 12 parts d'argent pour 1 part d'or1).

En 1263, il fait frapper le denier d'or à l'écu, d'un poids moyen de 4,04 grammes d'or2, la première émission d'or depuis plus de 250 ans, dont le nom fut abrégé en écu. Avec sa représentation de l'écu de France, symbole de l'unification du royaume, cette monnaie devint l'étalon de référence. En effet, l'écu en or a continué à être frappé sous les différents rois de France (de Philippe VI jusque Louis XIII), mais aussi par de nombreux seigneurs français et étrangers (en Aquitaine par Édouard III, en Béarn par Gaston de Foix, en Navarre par Henri d'Albret, en Flandre par Philippe le Hardi, par Philippe le Bon, par les évêques de Cambrai, par les papes d'Avignon…).

Louis XIII décida de réformer le système monétaire en 1640. Ce nouveau système était basé sur trois pièces :

le louis d'or qui remplaça le franc en circulation depuis l'époque de Jean II le Bon,
le louis d'argent ou écu d'argent,
le liard, monnaie de cuivre, à partir de 1656 (démonétisation en 1856).
Ce système perdura globalement jusqu'à la Révolution.

Sur l'avers des écus, figurait le blason de France avec les fleurs de lis : d'abord un « semé » de fleurs de lis, sur l'écu d'or de Saint Louis, les écus d'or à la chaise de Philippe VI et de Jean le Bon, par après un blason aux trois lis sur l'écu d'or de Charles VI en 1385 puis des écus écartelés aux armes de France et de Dauphiné de Louis XI à Louis XIV.

À partir de 1610, Henri IV, les écus frappés en Béarn et en Navarre portaient un écu écartelé aux armes de France et de Béarn-Navarre ou Navarre seule. Dans le Dauphiné, le Dauphin. En Bretagne, à la fin du xve siècle, l'hermine.

Sous Louis XIV apparaît la série d'écus d'argent « de Flandre », frappés à Lille après son annexion par Louis XIV, avec un écu aux armes de France et de Bourgogne et inspiré du thaler du Saint-Empire romain germanique. Pendant le xviiie siècle, les armes de France symbolisées par le motif en écu devinrent ronde ou ovale, ornées de palmes et de lauriers.

L'écu de France était initialement surmonté d'une couronne, parfois d'un heaume au xve siècle, avec différents motifs, fleur de lis, moucheture d'hermine sur les pièces bretonnes, emblème du roi comme le porc-épic de Louis XII, la salamandre de François Ier, le croissant d'Henri II), attributs de la royauté (sceptre et main de justice à partir du règne de Louis XIV, initiale du roi, K au Moyen Âge (Karolus en latin médiéval, puis C au xvie siècle).

Les différents types d'écu en or[modifier | modifier le code]
Description de l'écu d'or de Louis IX (1263 à 1270)[modifier | modifier le code]
D'un diamètre de 24 à 24,5 millimètres et poids moyen de 4,04 grammes d'or, cette émission est la première monnaie d'or française depuis plus de 250 ans.

Avers : Écu semé de six fleurs de lis posées 3, 2 et 1, dans un polylobe (8 lobes) aux angles rentrants fleuronnés. Légende circulaire : (croix) LVDOVICVS . DEI . GRACIA . FRANCOR . REX (ponctuation par double annelet).
Revers : Croix aux bras fleuronnés et feuillus, avec quadrilobe à quatre lobes et quatre pointes anglé en cœur, cantonnée de quatre fleurs de lis posées verticalement. Légende circulaire : (croix) XPC . VINCIT . XPC . REGNAT . XPC . IMPERAT (ponctuation par annelet) Le Christ vainc, le Christ règne, le Christ commande.
Description de l'écu d'or à la chaise de Philippe VI de Valois (1328 à 1350)[modifier | modifier le code]
L'écu réapparut près d'un siècle plus tard, en 1346. L'écu d'or à la chaise a connu six émissions de 1337 à 1349. Son poids resta stable 4,53 grammes, mais sa valeur passa de 20 à 25 sols tournois.

Sur son avers, Philippe VI assis dans une stalle gothique, couronné, vêtu du haubert et de la cotte d'armes, tenant de la main droite l'épée levée et de la gauche l'écu de France aux lis sans nombre, dans un polylobe cantonné de petits trèfles. Avec la légende « PHILIPPVS : DEI - .GRA. - FRANCORVM : REX », Philippe, roi des Francs par la grâce de Dieu.
Sur son revers, une croix quadrilobée et fleuronnée, dans un quadrilobe orné de feuilles et cantonnée de quatre trèfles sans queue. Avec la légende « XPC VINCIT XPC REGNAT XPC IMPERAT », Le Christ vainc, le Christ règne, le Christ commande.
Description de l'écu d'or à la couronne de Charles VI (1380 à 1422)[modifier | modifier le code]
L'écu d'or à la couronne fut créé le 11 mars 1385. Huit émissions sont connues. Le poids de ce écu en or était de 3,95 grammes et sa valeur de 22 sols tournois.

À l'avers, l'écu de France timbré d'un heaume couronné et la légende « KAROLVS DEI GRACIA FRANCORVM REX », Charles, roi des Francs par la grâce de Dieu.
Sur le revers, une croix fleurdelisée et feuillue, avec étoile à cinq rais dans un losange curviligne en cœur, le tout dans un quadrilobe cantonné de quatre couronnelles et la légende « XPC VINCIT XPC REGNAT XPC IMPERAT », Le Christ vainc, le Christ règne, le Christ commande.
Sous le règne de Charles VI, on frappa aussi le petit écu couronné et le demi-écu heaumé

Description de l'écu d'or à la couronne de Charles VII (1422 à 1461)[modifier | modifier le code]
L'écu à la couronne, ainsi qu'un demi-écu à la couronne du même type fut également fabriqué sous le roi Charles VII le Victorieux. Cette monnaie d'or pesait 3,47 grammes.

L'avers représente l'Écu de France couronné accosté de deux lis couronnés avec la légende « KAROLVS DEI GRACIA FRANCORVM REX », Charles, roi des Francs par la grâce de Dieu.
Le revers représente une croix feuillue avec quadrilobe anglé en cœur, cantonnée de quatre couronnes, dans un double quadrilobe. Avec la légende « XPC VINCIT XPC REGNAT XPC IMPERAT », Le Christ vainc, le Christ règne, le Christ commande.
Description de l'écu d'or au soleil de Louis XI (1461 à 1483)[modifier | modifier le code]
Louis XI créa l'écu au soleil ou écu sol. L'écu sol avait un poids de 3.45 grammes et valait 1 livre 13 sols tournois. Le 12 mars 1473, par ses lettres patentes, le roi ordonna la modification de valeur de neuf écu, pour 28 sols 4 deniers, au lieu de 25 sols auparavant3. Il modifia encore la valeur des monnaies, le 2 novembre 14754. En effet, à cette époque-là, une meilleure qualité des monnaies françaises provoquait une considérable fuite des devises.

L'avers représente l'Écu de France couronné sommé d'un soleil avec la légende « LVDOVICVS DEI GRA FRANCORVM REX », Louis, par la grâce de Dieu, roi des Francs.
Le revers est composé d'une Croix fleurdelisée avec quadrilobe en cœur et la légende « XPC VINCIT XPC REGNAT XPC IMPERAT », Le Christ vainc, le Christ règne, le Christ commande.
Description de l'écu d'or au soleil de Charles VIII (1483 à 1498)[modifier | modifier le code]
L'écu d'or au soleil de Charles VIII connut deux émissions pendant son règne. Sur la première émission figure une couronne avec initiales, tandis que sur la deuxième figure un lis avec initiales. À signaler les écus du Dauphiné (avec un dauphin et initiales) et de Dijon (avec une coquille et initiales). Les deux émissions ont gardé le même poids (3,496 grammes) et la même valeur

L'avers représente l'Écu de France couronné sommé d'un soleil avec la légende « KAROLUS DEI GRA FRANCORVM REX », Charles, par la grâce de Dieu, roi des Francs.
Le revers est composé d'une Croix fleurdelisée avec quadrilobe en cœur et la légende « XPC VINCIT XPC REGNAT XPC IMPERAT », Le Christ vainc, le Christ règne, le Christ commande.
Description de l'écu d'or au soleil de Provence de Louis XII (1498 à 1515)[modifier | modifier le code]
l'écu d'or au soleil de Provence a la particularité d'avoir été frappé à Aix-en-Provence (voir marque de maître) pendant la période 1506-1515. La légende reprend le numéro ordinal du roi Louis, à savoir XII et mentionne le titre de comte de Provence. La pièce pèse 3.496 grammes.

L'avers représente l'écu de France couronné sous un soleil avec la légende « LVDOVICVS XII D G F REX PVIE COME », Louis, par la grâce de Dieu, roi des Francs et comte de Provence.
Le revers est composé d'une Croix fleurdelisée avec quadrilobe en cœur et la légende « XPC VINCIT XPC REGNAT XPC IMPERAT », Le Christ vainc, le Christ règne, le Christ commande.
Description de l'écu d'or de Béarn de François Phébus (1479 à 1493)[modifier | modifier le code]
L'avers est composé de l'écu de Béarn sommé d’un besant, accosté de deux épées, surmonté de la légende « FRANCISCVS FEBVS D G DNS BEARI », François Phébus, par la grâce de Dieu, seigneur de Béarn.
Le revers reprend une croix fleuronnée cantonnée au 2 d’une épée, au 3 d’une F avec la légende « DOMINVS ILLUMINATIO MEA ET SAL », Le Seigneur est ma lumière et mon salut.
Description de l'écu d'or au soleil de François Ier[modifier | modifier le code]

Écu François Ier
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Description de l'écu d'or de Charles IX (1560 à 1574)[modifier | modifier le code]

Écu Charles IX
L'avers représente l'écu de France couronné avec la légende « CAROLVS VIIII D G FRANCO REX MDLXV », soit Charles IX, par la grâce de Dieu, roi des Francs
Le revers est composé d'une croix fleurdelisée avec différent d'atelier dans un losange incurvé en cœur avec la légende « + CRISTVS REGNAT VINCIT ET IMPERAT », soit Le Christ règne, vainc et commande
Description de l'écu d'or de Henri III[modifier | modifier le code]
En 1577, l'écu vaut 60 sous, donc 3 livres tournois, et pèse 3,2 g d'or. En 1602, sous Henri IV, il vaut 65 sous donc 3,25 livres, pour le même poids.

Écu Henri III
Sur les autres projets Wikimedia :
Écu (monnaie), sur Wikimedia Commons
Les différents types d'écu en argent[modifier | modifier le code]
L'écu blanc[modifier | modifier le code]
À partir de 15805, le conseil des Monnaies décide la frappe d'un écu en argent qui vaut le 1/4 de celui en or , soit 15 sols. Ces frappes durèrent jusque sous le règne de Louis XIV.


Écu d'argent ou louis d'argent, de Louis XIII le Juste. 1642
Le 23 décembre 1641, à la suite de la création du louis d'or (de 5 livres ; 3,3 g d'or), on appela les nouvelles pièces d'argent écu ou louis d'argent ou écu blanc d'une valeur de 60 sous soit 3 livre tournois.

L'écu de 6 livres
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En 1689, le cours de l'écu blanc monta à 3 livres et 6 sols. En 1709, le cours passa à 5 livres, avant de se stabiliser aux alentours de six livres au milieu du xviiie siècle, après la réforme monétaire de 1734.

L'écu de 5 francs
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue !
Sous la Révolution, la réforme monétaire de 1795 fit remplacer l'écu blanc, alors d'une valeur de six livres par la pièce de 5 francs de type Hercule.

Le terme écu continua à qualifier dans le langage courant les pièces de cinq francs en argent (qu'on appelait également « pièce de 100 sous ») jusque dans les années 1930, avant de tomber en désuétude.

Articles connexes
Franc français
Écu espagnol : voir Escudo espagnol, Doublon
Pièce de huit
Notes et références[modifier | modifier le code]
↑ Wailly, Mémoire sur les variations de la livre tournois, p. 222 [archive].
↑ Description des monnaies du Cabinet des Médailles [archive]
↑ http://books.google.fr/books?id=OJ-b2-CLz7EC&pg=PA563 [archive] Lettres patentes de Louis XI, Plessis-du-Parc-lèz-Tours, le 12 mars 1473 (1472 avant Pâques).
↑ http://books.google.fr/books?id=j3kUAQAAMAAJ&pg=143 [archive] Lettres patentes de Louis XI, Abbaye Notre-Dame-de-la-Victoire-lèz-Senlis, le 2 novembre 1475.
↑ Jean Dérens, « Ecu d'argent » in Encyclopaedia universalis [archive], en ligne.

Krugerrand belle épreuve
La Monnaie sud-aricaine produits des krugerrands belle épreuve en quantités limitées, destinés à la collection. Ces pièces sont vendues à un prix supérieur. On les distingue au nombre de canelures sur la tranche de la pièce: 180 pour le kruggerand ordinaire, 220 pour le krugerrand belle épreuve.
INSPIRÉE DE L'ECU FRANCAIS CREE PAR JEAN II LE BON

REMARQUE
DU
CITOYEN TIGNARD YANIS

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Message par yanis la chouette Jeu 27 Avr - 18:25

Le Krugerrand est une monnaie d’or de la République d'Afrique du Sud d'une once troy (oz) qui a cours légal depuis 1967 (South African Mint & Coinage Further Amendment Act no 40 of 1966 publié le 12 octobre 1966). Il présente la particularité d'être une monnaie qui a cours légal mais qui n'a pas de valeur faciale, et sa valeur est donc directement liée au cours de L'or1. Il est, selon les termes de la loi, « … monnaie légale, dans le cas de pièces d'or, en règlement de toute somme, la valeur de chaque pièce d'or ainsi remise étant égale à la valeur nette à laquelle la banque est disposée à acheter cette pièce d'or le jour de ladite soumission de celle-ci; ».

Il est produit chaque année depuis 1967 par la Monnaie sud-africaine (South African Mint). À partir de 1980 le Krugerrand d'une once a été rejoint par des pièces de 1/2 oz, 1/4 oz et 1/10 oz2.

Le Krugerrrand comporte à l’avers le portrait de Paul Kruger (1825-1904), président de la République sud-africaine du Transvaal de 1883 à 1900. Au revers, figure une gazelle springbok, un des symboles nationaux de l'Afrique du Sud.

Histoire
Le premier krugerrand est frappé le 3 juillet 19671. Le but de cette pièce est de favoriser la thésaurisation privée de l'or1. À la fin des années 1960, l'Afrique du Sud représente en effet 75% de la production d'or dans les pays occidentaux, et la promotion de l'or semble vitale pour la soutenir. Ce besoin devient plus aigu encore avec l'abandon de l'étalon or en 1971. Mettre en circulation une pièce de valeur relativement faible met l'or à la portée des petits épargnants.

Le succès du krugerrand est immédiat. 40 000 pièces ont été produites en 1967, puis les quantités annuelles ont augmenté rapidement, à plus de trois millions en 1974, et plus de six millions en 19782. On estime qu'en 1980, le krugerrand représente 90 % du marché mondial des pièces d'or1.

Les trois plus petites pièces d'une demi once, un quart d'once et un dixième d'once sont introduites en 1980, et sont aussi produites chaque année depuis leur introduction2.

Les sanctions économiques internationales frappant l'Afrique du Sud à partir de la fin des années 1970 en raison de sa politique de l'apartheid en font un import illégal dans beaucoup de pays occidentaux, et la demande s'effondre. Ces sanctions ont été levées en 1994, avec la fin de l'apartheid. Les quantités produites annuellement sont alors remontées lentement, depuis guère plus de 10 000 en 19982, mais sans jamais retrouver les niveaux antérieurs aux sanctions.

Krugerrand belle épreuve
La Monnaie sud-aricaine produits des krugerrands belle épreuve en quantités limitées, destinés à la collection. Ces pièces sont vendues à un prix supérieur. On les distingue au nombre de canelures sur la tranche de la pièce: 180 pour le kruggerand ordinaire, 220 pour le krugerrand belle épreuve.

Cinquantième anniversaire

Revers d'un krugerrand en argent, qui montre sa valeur faciale de 1 rand ainsi que le sceau anniversaire.
Pour le cinquantième anniversaire du krugerrand, en 2017, la Monnaie sud-africaine a émis divers krugerrands en séries limitées: ré-émission du krugerrand 1 oz daté 1967, émission de krugerrands datés 2017 de 1/20 oz, 1/50 oz, 5 oz et 50 oz en qualité belle épreuve ainsi que des pièces de 1 oz en platine et en argent en qualité belle épreuve ou « premium non-circulé »3. La pièce de 50 oz, émise à 50 exemplaires, pèse environ 1,5 kilogramme. Les pièces en argent et en platine sont les seuls krugerrands à avoir une valeur faciale (respectivement 10 rands et 1 rand)3.

Toutes les pièces anniversaire sont marquées d'un sceau du cinquantième anniversaire3.

Citations littéraires[modifier | modifier le code]
« Au fond d'un grand pot en plastique de vis et de boulons et de divers articles de quincaillerie il trouva une double poignée de krugerrands en or dans un sac en toile. »

— Cormac McCarthy, La Route
« L'avantage avec le Krugerrand, m'a expliqué la fille du bureau de change, c'est son poids, une once troy exactement et sa facilité à changer. Tu peux acheter des pesos mexicains si tu le souhaites, ou le petit Canadian Maple Leaf, mais dit-elle ils sont si fins qu'à force la poussière d'or colle aux doigts. Et puis j'aimais l'allure de cette antilope sur la face. Pas toi ? »

— John Updike, Rabbit est riche
Notes et références
↑ a, b, c et d http://www.samint.co.za/Flipbook/2017-Krugerrand-Brochure/SAMint-2017-Krugerrand-Brochure.html#p=11 [archive]
↑ a, b, c, d et e (en) Thomas Michael, 2017 Standard Catalog of World Coins, 1901-2000, 44th edition, p: 2008
↑ a, b et c http://www.samint.co.za/collectable-coins/2017-range/ [archive]
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Sur les autres projets Wikimedia :
Krugerrand, sur Wikimedia Commons Krugerrand, sur le Wiktionnaire
Article connexe[modifier | modifier le code]
Britannia (monnaie)
Liens externes[modifier | modifier le code]
Le Krugerrand, la pièce d'or mondiale [archive]
Article complet et détaillé sur les Krugerrands [archive]

HISTORIQUE
DES MONNAIES,
ARCHIVES
DE
Y'BECCA

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Message par yanis la chouette Jeu 27 Avr - 18:25

Fasciné par la figure du physicien allemand Werner Heisenberg (1901-1976) qui, après avoir élaboré le célèbre “principe d’incertitude”, jeta les bases de la mécanique quantique, ce qui lui valut d’obtenir le prix Nobel de physique en 1932, un jeune aspirant philosophe désenchanté s’efforce, à travers la destinée de cet homme de science exceptionnel confronté à la montée du nazisme puis à ses menées lors de la Seconde Guerre mondiale, de prendre la mesure du mal toujours à l’oeuvre dans le monde contemporain tout en tentant d’assumer l’incomplétude et les défaillances de sa propre existence.
Avec ce roman qui fait entrer en résonance les tragédies du dernier conflit mondial et une modernité rongée par les passions économiques, Jérôme Ferrari met en scène, telle une chute d’Icare toujours recommencée, la rencontre obstinément compromise entre l’âme de l’homme et la mystérieuse beauté du monde, que ne cessent de confisquer le dévoiement de la théorie en pratique et la corrosion des splendides innocences premières.

Le principe
JÉRÔME FERRARI

Un principe est une source, un fondement, une vérité première d'idées ou d'autres choses. On parle ainsi de la conscience ou l'âme comme principe de vie. Selon les Définitions du pseudo-Platon, le principe est la « cause première de ce qui est », tandis que pour Théophraste, il s’agit d’un « axiome du raisonnement probable »1.

Histoire du concept[modifier | modifier le code]
Les philosophes présocratiques s’étaient donné pour tâche de connaître le principe de toute chose, l’arkhè, principe premier. Ils entendaient par là l’étude de ce qui était le fondement de l’existence de l’ensemble des réalités empiriquement observables. Selon les pythagoriciens - surtout Philolaos au ve siècle av. J.-C. - les grands principes sont la Limite et l'Illimité.[réf. nécessaire]

Le principe le plus élevé, selon Platon, est l'Un, identique au Bien et au dieu2. Le Bien est la source de toute existence et de toute connaissance, il est lui-même supérieur à l'essence 3. C'est la lumière qui éclaire les Idées et permet à l'âme de les contempler4. C'est le principe, au-delà de toute hypothèse, qui fonde en certitude toute science5. Sa beauté est au-dessus de toute expression6. Ce n’est qu’à partir de la Métaphysique d’Aristote que le terme de principe entre dans la terminologie philosophique. Les principes sont les causes premières. Selon Aristote, « la philosophie est la science des principes », dont la connaissance forme la sagesse. Pour Théophraste, le principe est à la fois association et, pour ainsi dire, union intime entre eux des éléments intelligibles et des éléments physiques7.

Articles connexes[modifier | modifier le code]
Sur les autres projets Wikimedia :
principe, sur le Wiktionnaire
Métaphysique
Aristote
Cause
Premier principe
Présocratique
Principe de raison suffisante
Liste des concepts de la philosophie
Références
↑ Eugène Thionville, De la théorie des lieux communs dans les Topiques d'Aristote, 1855, « Alexandre d'Aphrodise », p. 91.
↑ Platon, La République [détail des éditions] [lire en ligne [archive]], 509b, 526e, 597b.
↑ La République, 509b.
↑ La République, 508d-e, 509a.
↑ La République, 511b, 533c.
↑ La République, 509a.
↑ Théophraste, Métaphysique, Livre I, 9-10.

ÉTHIQUE
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